Agir sur sa santé cognitive dès maintenant
Michel et Micheline Dakôté sont les porte-paroles des organismes communautaires, chaque mois, ils vous racontent leurs aventures…
Micheline lit le journal : « Ils prévoient une hausse de 145 % des cas d’Alzheimer ou autre trouble neurocognitif (TNC)», son mari Michel répond : «Que peut-on y faire?». Selon l’article, chacun peut agir sur sa santé cognitive dès maintenant. Le couple a connu la Société Alzheimer du Haut-Richelieu (SAHR) lorsque le père de Michel a eu besoin de services, il y a quelques années. Ils décident de se renseigner.
Une intervenante leur explique que la SAHR est présente à chaque étape du cheminement favorisant : la prévention des risques et des facteurs modifiables; l’accompagnement et le soutien dans les différentes démarches; le maintien des acquis; le processus d’hébergement; jusqu’au moment du deuil. Ainsi, il y a des retombées sur l’espérance de vivre le plus longtemps possible à domicile, en sécurité et de manière à rester intégré à son milieu.
La famille Dakôté découvre la multitude de services offerts tels que les centres d’activités; le service d’interventions psychosociales; les groupes de soutien; les formations et les ateliers; le centre de documentation; plus encore !
On leur parle du rapport de la Commissaire à la santé et au bien-être : « on met de l’avant que le coût annuel moyen pour une personne recevant des services de soutien à domicile est beaucoup moins élevé que pour une personne en hébergement ».
L’intervenante leur précise : « En facilitant le maintien à domicile, nous contribuons aux efforts consentis au maintien de l’autonomie des aînés, à leur participation à des activités pour une vie socialement plus active et garantissons leur qualité de vie ».
Michel et Micheline pensent à la même chose : «Il ne faut pas attendre d’être frappés par la maladie pour se renseigner! »